Votre agenda culturel
De nombreux musées et centre d’arts sont gratuits pour les moins de 26 ans!
SORTEZ en famille ou entre amis!! C’est l’occasion de faire une activité et d’avoir de nouveaux sujets de discussions… Vous avez le droit de rire, de vous moquer des oeuvres, de vous mettre en colère, de rêver…
A Champigny : https://champigny94.fr/tous-vos-loisirs/culture/arts-visuels
MAISON DES ARTS PLASTIQUES:
lundi au vendredi de 14h à 19h et le samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 16h
ACTUALITE: Nuit Blanche SAMEDI 2 OCTOBRE
Expositions à voir, dans l’ordre où elles finissent:
OCTOBRE
CHRISTO ET JEANNE-CLAUDE, EMPAQUETAGE DE L’ARC DE TRIOMPHE
Jusqu’au 3 octobre 2021, place de l’étoile à Paris
Pour sa 3e édition, la Triennale art nOmad fait le lien entre les artistes de France et d’Asie du Sud-Est comme on tresserait une natte ; et rassemble autour d’une exposition vagabonde évoluant en une multitude de performances et d’ateliers, comme on déploierait une nappe. Un voyage conçu par Clorinde Coranotto et Valentin Rodriguez comme une « œuvre collective et performative ».
Jusqu’au 3 octobre 2021 // 104 (19e) // 3 entrées pour 7 € // +d’infos
LES OLMEQUES ET LES CULTURES DU GOLF DU MEXIQUE
Plein phare sur la civilisation Olmèque et le monde méconnu des cultures précolombiennes du golfe du Mexique. Une plongée fascinante à travers plus de trois millénaires d’histoire, d’échanges et de traditions artistiques. Sont exposées de nombreuses sculptures, objets et films documentaires pour situer, comprendre et expliquer cette civilisation.
Jusqu’au 3 octobre // Musée du quai Branly (8e) // 7-10€, gratuit pour les moins de 26 ans // +d’infos
Répartie autour de deux grands espaces, l’exposition présente tout d’abord la « Constellation Rouart » organisée autour des arrière-grands-pères du donateur : Henri Rouart et Henry Lerolle, qui tous deux pratiquèrent la peinture et collectionnèrent passionnément les impressionnistes. Une seconde salle est consacrée à l’œuvre d’Augustin Rouart, père de l’écrivain.
Jusqu’au 10 octobre // Petit Palais (8e) // 9-11€ , gratuit pour les moins de 18 ans // +d’infos
Après avoir assiégé le pavillon allemand avec son exposition et performance Faust, récompensée par le Lion d’or à la Biennale de Venise en 2017, Anne Imhof prend possession de l’ensemble du Palais de Tokyo pour composer une oeuvre totale et polyphonique. Elle y fait fusionner l’espace et les corps, la musique et la peinture, ses oeuvres et celles de ses complices dont l’artiste plasticienne et compositrice Eliza Douglas, et de la trentaine d’artistes invités.
Jusqu’au 24 octobre // Palais de Tokyo (16e) // 9,40-12,50€ // +d’infos
L’exposition Moriyama – Tomatsu : Tokyo a été conçue par les artistes Daido Moriyama et Shomei Tomatsu – avant le décès de ce dernier en 2012 – comme une manière de célébrer leur ville autour d’une première collaboration artistique. Sur les deux étages principaux de la MEP – le 2e étage sera consacré à Tomatsu, le 3e à Moriyama – l’exposition présentera plus de 400 œuvres dont la plupart pour la première fois à Paris.
Jusqu’au 24 octobre // Maison européenne de la photographie (4e) // 6-10€ // +d’infos
La nouvelle exposition du musée Maillol, après une première étape au LaM de Villeneuve d’Ascq, révèle l’oeuvre d’une sélection d’artistes spirites autour de trois figures principales de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle : Augustin Lesage, Victor Simon et Fleury-Joseph Crépin. Le parcours chronologique, historique et thématique présentera plus d’une centaine d’œuvres issues de collections européennes, publiques et privées.
Jusqu’au 31 octobre // Musée Maillol (6e) // 10-14,5€ // +d’infos
NOVEMBRE
DECEMBRE
En écho à l’exposition Jean Cortot, peintre des mots organisée par la BnF du 21 septembre au 7 novembre 2021, le Musée d’Art Moderne de Paris rend hommage à Jean Cortot dans l’une des salles de ses collections permanentes. Une dizaine de tableaux retrace le cheminement artistique du peintre, depuis ses Villes abstraites des années 1950 jusqu’à ses « écritures peintes » continuées jusqu’à sa mort en 2018. Prêtées par la famille de l’artiste, les œuvres exposées proviennent toutes de l’atelier de Montparnasse dans lequel Cortot travailla toute sa vie. Un don de plusieurs tableaux a par ailleurs été promis au MAM.
Jusqu’au 1er décembre // Musée Art Moderne de la Ville de Paris (4e) // 9-12€ , gratuit pour les moins de 18 ans // +d’infos
DESIR D’HUMANITE – Bathélémy Toguo
Carte blanche à la Fondation Dapper: l’artiste camerounais Barthélémy Toguo. Un art engagé et sensible qui explore les dysfonctionnements du monde actuel pour mieux les dénoncer en puisant, entre autres, dans les cultures de l’Afrique
Jusqu’au 5 décembre // Musée du quai Branly (8e) // 7-10€, gratuit pour les moins de 26 ans // +d’infos
Le Centre Pompidou présente la première rétrospective en France de Georgia O’Keeffe (1887 – 1986), l’une des plus grandes figures de l’art nord-américain du 20e siècle. Riche d’une centaine de peintures, dessins et photographies, l’exposition propose un parcours complet à travers sa carrière artistique. Disparue à 98 ans, Georgia O’Keeffe aura traversé l’essentiel des aventures esthétiques du siècle précédent. Dans les années 1920, elle appartient au cercle restreint des inventeurs du modernisme américain, puis participe, dans les années 1930, à la recherche identitaire qui marque les États-Unis, avant de devenir dans les années 1960 une pionnière de la peinture abstraite « hard edge ».
Jusqu’au 6 décembre // Centre Pompidou (4e) // 11-14€, gratuit pour les moins de 18 ans // +d’infos
L’exposition collective « L’image et son double » rassemble des œuvres nées d’une réflexion sur une des propriétés principales – sinon la première – de la photographie : la reproduction. Faisant dialoguer des œuvres photographiques historiques comme plus contemporaines, cette exposition offre un éclairage sur la nature même de la photographie, ses spécificités, comme ses liens fondamentaux avec les autres disciplines artistiques. GALERIE DE PHOTOGRAPHIES
Jusqu’au 13 décembre // Centre Pompidou (4e) // 11-14€, gratuit pour les moins de 18 ans // +d’infos
Autant admiré que controversé, Napoléon Bonaparte est un personnage complexe dont la vie oscille entre héroïsme et tragédie, victoire et défaite, avancées modernes et mesures régressives. A l’occasion du bicentenaire de sa mort, la Rmn – Grand Palais, La Villette et Re Re / Adonis proposent une exposition spectaculaire, dressant le portrait juste d’un personnage fascinant qui a façonné la France d’aujourd’hui. Car, connaître Napoléon, c’est comprendre le monde dans lequel nous vivons.
Jusqu’au 19 décembre // Grande Halle de la Villette // 15-20€ // +d’infos
JANVIER 2022
« Les Cerisiers en Fleurs parlent de beauté, de vie et de mort. Elles sont excessives — presque vulgaires. (…) Elles sont ornementales mais peintes d’après nature. (…) Les Cerisiers en Fleurs sont tape à l’œil, désordonnées et fragiles, et grâces à elles, je me suis éloigné du minimalisme pour revenir avec enthousiasme à la spontanéité du geste pictural. » Damien Hirst
Jusqu’au 2 janvier // Fondation Cartier (14e) // 7-12€ – Gratuit moins de 13 ans ou -18 ans le mercredi uniquement//+d’infos
Pour la première fois, le Musée Rodin et le Musée national Picasso-Paris s’unissent afin de présenter l’exposition-événement « Picasso-Rodin ». Ce partenariat exceptionnel entre deux grands musées monographiques offre un regard inédit sur ces artistes de génie qui ont ouvert la voie à la modernité dans l’art. Leurs chefs-d’œuvre sont présentés simultanément au sein des deux monuments historiques qui abritent ces musées nationaux. L’exposition invite à une relecture croisée des œuvres de Rodin (1840-1917) et Picasso (1881-1973), ces deux grands artistes ayant durablement bouleversés les pratiques artistiques de leur temps pour les générations à venir. Il ne s’agit pas de montrer ce que Picasso a emprunté à Rodin, mais plutôt d’examiner les convergences signifiantes qui apparaissent entre l’œuvre de Rodin et plusieurs périodes de la production de Picasso. Cette relecture croisée de leurs œuvres se décline en différents chapitres sur les deux lieux, au Musée Rodin d’une part à travers la crise de la représentation du début du XXe siècle, et au Musée Picasso d’autre part les processus créatifs des artistes. À des époques et dans des contextes différents, Rodin et Picasso participent à une articulation décisive de l’histoire et sans doute est-ce là une des clés de leurs similitudes. À leur façon, ils inventent un nouveau mode de représentation, expressionniste chez Rodin, cubiste chez Picasso.
Jusqu’au 2 janvier // Musée Picasso (3e) // 11-12,50€, gratuit pour les moins de 26 ans // +d’infos
DALI // GAUDI // THE LAST SENTINELS // EVERITHING en alternance
4 spectacles multimédias diffusés en alternance.
Jusqu’au 2 janvier // Atelier des lumières (11e) // entrées 9,5 – 14,5 € // +d’infos
Le Musée d’Art Moderne de Paris présente l’exposition « PasséPrésent » autour de l’œuvre de Sarah Moon. Reconnue comme une grande photographe de mode, active en France et à l’étranger depuis la fin des années soixante, ses réalisations débordent pourtant ce seul domaine, et l’exposition souhaite faire découvrir la singularité de son travail, tant photographique que cinématographique, oscillant entre reflets et transparence, mirages et obscurité.
Jusqu’au 9 janvier // Musée Art Moderne de la Ville de Paris (4e) // 9-12€ , gratuit pour les moins de 18 ans // +d’infos
Le MAC VAL propose la première exposition monographique muséale de Taysir Batniji réunissant une sélection de plus de cinquante œuvres produites ces vingt-cinq dernières années.
Après l’obtention de son diplôme de l’université nationale An-Najah de Naplouse la pratique picturale des débuts de Taysir Batniji évolue rapidement vers des objets plus conceptuels, la photographie et la vidéo s’imposent doucement. Son travail tisse des liens entre l’espace intime et public. Il mène une réflexion sur les questions d’identité, de déplacement, de souvenir, d’attachement, de disparition, d’absence, de frontière, d’exil, de trace… Son histoire personnelle, croisée avec l’actualité, éclaire les situations d’entre-deux culturel et géographique.
Jusqu’au 9 janvier // MAC/Val d’Ivry-sur-Seine // 2,5-5€ , gratuit pour les moins de 26 ans // +d’infos
Le musée de l’Orangerie présente une exposition faisant dialoguer les œuvres de Chaïm Soutine (1893–1943), peintre de l’École de Paris d’origine russe (actuelle Biélorussie) et de Willem de Kooning (1904-1997), expressionniste abstrait américain d’origine néerlandaise. Cette exposition s’attachera plus spécifiquement à explorer l’impact de la peinture de Soutine sur la vision picturale du grand peintre américain.
Jusqu’au 10 janvier // Orangerie (1er) // 6,5-9€ , gratuit pour les moins de 26 ans // +d’infos
À l’aube du XXᵉ siècle, le cinéma est tout autant, sinon plus, une manière de s’approprier le monde, les corps et les représentations, qu’une machine ou un média. Nouveau regard éminemment social et populaire, il est le produit d’une culture urbaine fascinée par le mouvement des êtres et des choses et désireuse de faire de la « modernité » un spectacle.
Jusqu’au 16 janvier // Musée d’Orsay (7e) // 9-12€ – Gratuit moins de 18 ans// +d’infos
Le parcours de Vivian Maier (New York, 1926 – Chicago, 2009) est atypique mais c’est pourtant celui d’une des plus grandes photographes du XXe siècle. C’est au cœur de la société américaine, à New York dès 1951 puis à Chicago à partir de 1956, que cette gouvernante d’enfants observe méticuleusement ce tissu urbain qui reflète déjà les grandes mutations sociales et politiques de son histoire. C’est le temps du rêve américain et de la modernité surexposée dont l’envers du décor constitue l’essence même de l’œuvre de Vivian Maier. L’exposition permet au public d’accéder pour la première fois à des archives inédites de la photographe, découvertes en 2007 : photographies vintages que Vivian Maier a pu tirer, films super 8 jamais montrés, enregistrements audio… L’exposition permet ainsi de saisir toute l’ampleur de l’œuvre de cette grande artiste et de replacer son œuvre dans l’histoire de la photographie.
Jusqu’au 16 janvier // Musée du Luxembourg (5e) // gratuit pour les moins de 26 ans // +d’infos
FEVRIER
Organisée à l’occasion du bicentenaire de la Révolution grecque de 1821, l’exposition souhaite mettre en valeur les liens unissant la Grèce et la culture européenne, en suivant notamment le fil des relations entre Paris et Athènes.
Aux 17e et 18e siècles, les ambassadeurs en route vers la Sublime Porte découvrent en Grèce une province ottomane, qui intéresse vivement les artistes et les intellectuels. En 1821, la guerre d’Indépendance grecque, soutenue militairement et financièrement par certains pays européens, suscite un enthousiasme populaire. Libérée en 1829, la Grèce proclame Athènes comme capitale en 1834. Influencé par la présence allemande et française sur son territoire, le nouvel État grec construit son identité culturelle moderne en puisant aux sources du néoclassicisme français et allemand. La défense du patrimoine national et la collaboration européenne marquée par la création d’instituts archéologiques, comme l’École française d’Athènes en 1846, sont à l’origine d’un bouleversement des connaissances sur le passé matériel de la Grèce.
Jusqu’au 7 février // Musée Louvre (6e) // 15€ // +d’infos
La Fondation rouvrira ses portes le 22 septembre 2021 avec l’exposition La Collection Morozov. Icônes de l’art moderne.
Du 22 septembre 2021 au 22 février 2022, l’exposition événement réunira plus de 200 chefs-d’œuvre d’art moderne français et russe des frères moscovites Mikhaïl Abramovitch Morozov (1870-1903) et Ivan Abramovitch Morozov (1871-1921).
Présentée pour la première fois hors de Russie, La Collection Morozov rassemble des œuvres majeures de Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Renoir, Monet, Bonnard, Denis, Matisse, Derain et Picasso aux côtés d’artistes emblématiques de l’avant-garde russe tels que Vroubel, Malevitch, Répine, Larionov, Sérov.
Jusqu’au 22 février // Fondation Louis Vuiton (16e) // entrées pour 5 à 16 € // +d’infos
CHEFS D’OEUVRE PHOTOGRAPHIQUES DU MoMA
En 2001 et en 2017, le Museum of Modern Art de New York (MoMA) faisait l’acquisition de plus de 350 photographies provenant du collectionneur Thomas Walther. Cet ensemble, qui constitue aujourd’hui un des piliers de la collection moderne du MoMA, est présenté pour la première fois hors de New York, dans une exposition rassemblant environ 230 images.
Jusqu’au 22 février // Musée du Jeu de Paume (8e) // entrées de 7,50 à 10 €, gratuit pour les -26 ans // +d’infos
Mars
Marne (2020-2022), les gens d’Uterpan présentent une exposition inédite combinant la question du cadre et du contexte pour proposer une nouvelle approche de monstration des oeuvres et d’implication des corps.
Présentant un assemblage d’œuvres (film, performance, textes…) et d’objets scénographiques prélevés sur le site ou dans ses alentours, l’exposition procède du déplacement, du glissement ou du rapprochement des statuts entre les espaces, intérieurs et extérieurs, privés et publics, scéniques et monstratifs.
Du 14 octobre jusqu’au 13 mars // MaBA de Nogent sur Marne // entrées gratuite // +d’infos
PERMANENT (ne fini jamais!)
Pour s’adapter à leur environnement, les robots doivent pouvoir capter, se déplacer, manipuler, communiquer. Cette capacité d’autonomie en fait des machines extraordinaires.
Qu’est-ce qu’un robot exactement ? Comment fonctionne cette machine si fascinante ? À quoi peut servir un robot ? Les robots vont-ils modifier notre quotidien ? Sommes-nous prêts à les accepter ?
La nouvelle exposition permanente « Robots », découpée en six grands moments muséographiques, vous permettra de saisir les enjeux de la robotique contemporaine, d’interagir avec de véritables robots et d’aborder les grandes questions liées à leur arrivée dans notre vie quotidienne.
Permanente // Cité des sciences (19e) // 9-12€ // +d’infos